Ce n’est pas la vitesse qui tue, c’est l’arrêt soudain du mouvement.
Un pied à terre dans le changement, exit le déménagement. Un pas en avant.
L’autre pied dans les airs, bringuebalant, incertain de la direction à prendre et si calme, pourtant. Je vibre au rythme du vent.
Tout et rien en avant. Étrange sentiment. Je suis le Roi du Monde et personne en même temps.
Ce n’est pas la première fois, vous me direz. Sans doute. À la différence que je ne l’appréciais peut-être pas autant.
Je savoure le temps qui passe.
Ce temps élastique, si rapide et si lent.
mardi 7 juillet 2009
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